
Dans le procès deSean « Diddy » Combs Depuis la semaine dernière, on parle beaucoup de sa relation avec son ex, Cassandra « Cassie » Ventura. Mais en jetant un œil aux réseaux sociaux, il semble que personne ne parle de ce qui compte vraiment : l’accusation prouve-t-elle son cas ?
En bref, jusqu’à présent, la réponse est retentissante. Non. Parlons du pourquoi.
Dans la défense déclaration d’ouvertureL’avocate de Combs, Teny Geragos, a déclaré que son client n’était pas quelqu’un de bien. Elle a admis sans détour que s’il était accusé de violences conjugales, il serait reconnu coupable. Mais elle a fait quelque chose d’inattendu et de terriblement malin : Geragos a souligné qu’il n’était accusé d’aucune de ces choses. Il est jugé pour trafic sexuel et racket.
Elle a déclaré aux jurés qu’ils pourraient penser que Combs est un « connard » et ne pas cautionner ses « relations sexuelles perverses », mais qu’« il n’est pas accusé d’être un connard ». Pourtant, cela n’a pas empêché l’accusation de creuser dans tout le désordre entourant cette affaire.
Vendredi matin (16 mai), ils ont fait comparaître une travailleuse du sexe, un agent de sécurité et Cassie à la barre. Les témoignages de la travailleuse du sexe et de l’agent de sécurité n’ont pas été très concluants, car Combs n’est pas jugé pour avoir simplement embauché une travailleuse du sexe : il est accusé de trafic sexuel, de racket et de transport de personnes à des fins de prostitution. Ils doivent prouver qu’il est à la tête d’une entreprise criminelle… et ces deux premiers témoins ne font rien pour y parvenir. Il ne reste plus que Cassie.
Une personne proche de Combs pourrait témoigner qu’elle l’a vu tirer les ficelles d’une telle organisation… et ils ont lamentablement échoué.
Cassie a témoigné et a raconté son expérience, certes horrible, en tant que partenaire de Diddy pendant plus de 10 ans. Son témoignage était si explicite et dérangeant que son mari, Alex Fine, avait quitter la salle d’audience.
Son témoignage a incité tout le monde, y compris sa mère, à se rendre sur les réseaux sociaux et à donner son avis sur son choix de rester avec lui si longtemps. (Certains des hommes noirs qui ont donné leur avis doivent prendre plusieurs sièges, (au fait.)
Tout cela est salace et dépeint Combs sous un mauvais jour, mais cela n’aide pas la thèse de l’accusation. Surtout quand on considère les SMS que la défense a mis en lumière le lendemain.
« J’ai hâte de te voir », a envoyé Combs à Cassie en 2009, alors qu’ils discutaient d’une dispute imminente. « Moi aussi », a répondu Ventura. « Je veux juste que ce soit incontrôlable. » Elle a ensuite ajouté : « Je suis toujours prête à péter les plombs MDR. » Ce qui a amené Combs à répondre : « Tu me dis le jour. Tu choisis. » Soupir.
Ce n’est pas bon pour l’accusation. Toute leur affaire repose sur le fait que Combs a forcé des personnes à participer à ces soirées sexuelles, mais les textes impliquent une certaine mesure de consentement et d’autonomie de la part de Cassie en 2009.
Cela ne veut pas dire que les choses n’ont pas changé au fil du temps. Ou qu’il ne l’a pas forcée à faire quelque chose contre sa volonté à terme. Mais les arguments avancés par l’accusation ne tiennent pas la route. Car, du moins en 2009, elle semblait être à fond.
L’accusation n’a pas réussi à faire valoir ses arguments. Au lieu de cela, elle a seulement prouvé que Combs était un monstre. Et vous ne pouvez pas aller en prison pour ça.
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